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Les autorités chinoises ordonnent aux villageois de Driru de participer à un festival dans le but de montrer des habitants heureux sous le régime de Pékin.

Les prisonniers politiques tibétains de la prison de Deyang sont obligés de travailler pendant de longues heures, isolés les uns des autres et agressés par les gardes chinois.

Dans le comté de Driru, les autorités chinoises agrandissent un centre de détention de la police en prévision de nouvelles vagues de détention.

Lhamo Tashi, étudiant de 22 ans, s’est immolé par le feu à l’extérieur d’un bureau de la sécurité à Tsoe, à minuit, le 17 septembre 2014.

Il est évident que l’encerclement et l’anéantissement des monastères du Tibet progresse continuellement, de plus en plus loin. "Les autorités locales du Parti lancent actuellement le plus cruel et le plus implacable nettoyage des monastères tibétains depuis la Révolution culturelle.

Essayons de comprendre toute la portée de la nouvelle déclaration du Dalaï Lama concernant sa succession et de la riposte de la Chine, laissant entendre que le "pouvoir central" est seul juge de la renaissance du maître Tibétain.

La Chine a accusé le Dalaï Lama de "chercher à pervertir l’histoire" et lui a nié tout droit de décider de mettre fin à la tradition pluriséculaire de réincarnation des chefs spirituels tibétains.

Le Dalaï Lama a affirmé dans un entretien à la presse allemande qu’il entendait être le dernier chef spirituel tibétain et mettre un terme à une tradition religieuse vieille de plusieurs siècles.

Le Dalaï Lama a renoncé à se rendre en Afrique du Sud à un sommet des prix Nobel de la Paix au Cap en octobre, Pretoria lui ayant refusé son visa pour ne pas indisposer la Chine.

Lhassa, capitale du Tibet, est devenue plus chinoise que jamais, ayant connu sans transition le développement et la modernisation de la Chine, amenant à se demander où les Tibétaines et Tibétains ont disparu.