Informations

La Chine a promis de faire disparaitre la voix du Dalaï Lama du Tibet, assurant que seule la propagande de la Chine communiste sera entendue là-bas.

Quelles sont les circonstances qui ont amené plus de 120 Tibétains à s’immoler par le feu au Tibet ? Tsering Woeser tente d’y répondre dans un livre en français, illustré par l’artiste chinois Ai Weiwei.

Les autorités chinoises du comté de Driru ont resserré leur emprise sur les Tibétains après que ceux-ci aient refusé de hisser le drapeau national chinois.

Le dimanche 6 octobre 2013, les forces de sécurité chinoises ont tiré et blessé au moins 60 Tibétains.

Le 30 juillet 2013, un monastère tibétain de plus de 300 ans a été fermé pour une période indéterminée après que les autorités chinoises aient tenté d’imposer leur propre choix dans une réincarnation.

Lors de l’audience du Comité des droits de l’enfant à Genève du 26 au 27 septembre, la Chine a dressé un tableau élogieux de son bilan en ce qui concerne la situation des enfants au Tibet occupé. Cependant, des questions très précises ont été posées par certains des 18 experts pour les Droits de l’enfant de l’ONU à la suite de son rapport.

Shichung, fermier de 41 ans, s’est immolé par le feu le 28 septembre 2013 à Gomang Thawa, comté de Ngaba, afin de manifester contre les politiques chinoises menées contre les Tibétains.

Les Tibétains de Lhassa sont soumis à de sévères restrictions, avec le déni complet de leurs droits à voyager, alors même que la ville est déjà submergée, dans un rapport de huit à un, par des immigrants chinois.

Les autorités chinoises de Dzatoe ont lancé une campagne d’éducation politique de trois mois concernant tous les responsables tibétains de districts, cantons et villages tibétains.

Les autorités locales de Rebkong ont publié des avis dans les lieux publics précisant les activités liées à "l’indépendance du Tibet" traitées comme illégales.