Les autorités chinoises de la "Région Autonome du Tibet" ont rédigé une déclaration interdisant aux membres du Parti, cadres, responsables gouvernementaux et même à des étudiants, de participer aux activités religieuses.
Les autorités chinoises au Tibet ont mis en place de nouveaux contrôles sur les flux d’informations en ligne. Dans le même temps, les autorités ont mis en place un nouveau programme de dénonciations forcées du Dalaï Lama, accompagnées de bourses à des moines et nonnes "respectueux de la loi".
Un Tibétain est mort et un autre s’est grièvement blessé en tentant de s’immoler par le feu dimanche 27 mai 2012 à Lhassa, qui jusque-là n’avait pas enregistré de tels actes désespérés, accomplis en réaction à la tutelle implacable de la Chine.
Les autorités chinoises ont fermé deux écoles privées tibétaines dans l’Amdo tibétain et ont arrêté au moins cinq membres du personnel alors que les autorités tentent de limiter les affirmations de l’identité nationale dans les régions tibétaines.
Les autorités de la région tibétaine du Kham ont condamné à 3 ans de prison un comédien très connu ayant voulu exhorter à "l’unité" tibétaine sous accusation de possession d’armes à la suite d’aveux obtenus sous la torture.
Les autorités chinoises de la "Région Autonome du Tibet" (TAR) ont relancé une nouvelle vague de "rééducation patriotique" et les campagnes "d’éducation légale" destinées aux institutions monastiques tibétaines au nom du "maintien de la stabilité et de l’unité, en promouvant l’harmonie au Tibet".
Le Dalaï Lama a rencontré le 14 mai 2012 "en privé" le Premier ministre britannique David Cameron à Londres, où il est venu recevoir le prix "Templeton" pour son action en faveur du dialogue entre les religions.
La Chine cherche à limiter les contacts entre le Tibet central et les régions de l’est, actuellement en effervescence.
Suite à l’immolation de Jamyang Palden et Sonam Dhargye en mars 2012, qui protestaient contre la nouvelle politique éducative obligeant à étudier en chinois, de nombreux directeurs d’école ont été licenciés et la situation reste tendue à Rebkong.
Les autorités chinoises ont renforcé la sécurité dans le Canton de Dzogchen, environ deux semaines après les manifestations massives contre la répression dans un monastère local et la détention arbitraire de Tibétains.
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