Le Népal a rapatrié de force un réfugié tibétain ayant fui la Chine, a affirmé le 24 nov. 2011 l’organisation International Campaign for Tibet (ICT), plus d’un an après une affaire similaire qui avait suscité l’indignation de la communauté internationale.
Le dimanche 20 novembre 2011, un grand portrait du Dalaï Lama, ainsi que deux drapeaux nationaux tibétains, ont été installés sur le toit du monastère de Ragya en Amdo, au Tibet oriental.
C’était fin 1986. Pour annoncer dans les colonnes de mon journal, L’Express, la naissance de la Fondation France Libertés, je rencontre Danielle Mitterrand, dans le petit bureau qu’on lui avait prêté, au rez-de-chaussée d’un immeuble bourgeois du 17éme arrondissement.
Le Dalaï Lama, chef spirituel des bouddhistes tibétains, a mis en cause "l’efficacité" des immolations de moines et nonnes au Tibet, engageant ses compatriotes à "la sagesse", dans une interview à la BBC le 17 novembre 2011.
Première visite en France
du chef politique de l’Administration Tibétaine en Exil,
récemment élu au suffrage universel
le 26 novembre 2011
La Chine a déclaré le 16 novembre 2011 que tous les enfants tibétains dans les régions rurales de la "Région Autonome du Tibet" (TAR) obtiendraient gratuitement l’éducation pré-scolaire en langue chinoise, le tibétain étant également enseigné comme matière linguistique.
Selon des rapports officiels chinois, lors d’un congrès de la branche tibétaine du Parti communiste, la Chine a présenté ses projets visant à donner aux moines tibétains des prestations d’aide sociale afin de tenter d’améliorer la "stabilité".
Lors de sa dernière visite à Pékin, le dirigeant de Dui Hua (un groupe de défense des droits ayant des liens étroits avec le gouvernement chinois) a demandé aux autorités de libérer deux éminents prisonniers politiques tibétains.
Les autorités chinoises du Tibet obligent des moines et des nonnes à revenir dans un monastère abandonné, mettant en garde les hauts dirigeants de ce monastère sur l’éventualité d’être tués s’ils ne tiennent pas compte de cet ordre, rapportent des sources tibétaines.
Dans un appel direct au Président chinois Hu Jintao, deux grandes organisations de défense des droits humains, Human Rights Watch et Amnesty International, ont appelé le gouvernement chinois à mettre fin aux politiques répressives dans les régions tibétaines.
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