Prompte à dénoncer les "ingérences dans les affaires intérieures de la Chine", le gouvernement chinois ne se prive pas pour critiquer l’Europe.
Le gouvernement chinois de la "Région Autonome du Tibet" désire renforcer le contrôle sur les monastères de la région et former davantage les moines et nonnes à "l’amour de l’occupation chinoise".
Dans un communiqué de presse du 10 janvier 2012, le Parlement tibétain en exil a appelé la communauté internationale à plus de pression sur la Chine après trois nouvelles immolations par le feu depuis le début de l’année.
Étudiants pour un Tibet Libre organise une manifestation
jeudi 12 janvier 2012 à partir de 15h30
place de l’Hôtel de Ville à Paris.
Selon des sources en provenance du Tibet, le 8 janvier 2012, un moine tibétain s’est immolé par le feu dans la ville de Dharlag, au Qinghai. Depuis ces quatre derniers jours, il est le 3ème à s’immoler, protestant contre la domination chinoise au Tibet.
Selon des informations en provenance de différentes sources, un incident s’est produit le 6 janvier 2012 vers 14h 40 (heure du Tibet) dans la région de Ngaba, au Tibet oriental, où précédemment, depuis mars 2011, avaient eu lieu onze cas d’immolation par le feu.
Les dernières informations en provenance du Tibet concernant Tulku Tenzin Delek, 61 ans, purgeant actuellement une condamnation à perpétuité dans une prison chinoise au Tibet, sont porteuses de sérieuses préoccupations sur sa santé.
Citant des sources au Tibet, un Tibétain en exil a dit à Radio Free Asia que Tulku Tenzin Delek était atteint d’une maladie cardiaque et souffrait de graves douleurs dans les jambes.
La Commission exécutive du Congrès américain sur la Chine vient de publier un rapport spécial : "Les auto-immolations dans le monde monastique tibétain sont en corrélation avec la répression croissante de la liberté religieuse".
Le premier Tibétain connu pour avoir voulu s’immoler et que l’on avait cru décédé après les tirs des personnels de sécurité chinois, est désormais considéré comme vivant, mais il est enfermé dans un hôpital de l’armée chinoise.
Dans la nuit du mercredi 14 décembre 2011, plus de 3 000 étudiants chinois ont battu des étudiants tibétains mais aussi pratiqué des effractions et des saccages dans leurs dortoirs et salles de classe.
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