Le sentiment maternel, un chemin du bonheur

lundi 11 septembre 2006 par Jean-Paul Ribes

En visite à Vancouver (Canada), le 8 septembre 2006, le Dalaï Lama a affirmé sa conviction que la force qui conduit à la plus grande satisfaction dans ce monde, c’est l’affectueuse étreinte entre une mère et son enfant nouveau-né.

« J’ai maintenant 71 ans, mais je ressens toujours, au plus profond de moi même, ce qui fut la première expérience de ma vie, l’affection de ma mère » a-t-il déclaré.

« Cela m’a immédiatement donné la paix intérieure, le calme intérieur » a-t-il ajouté, précisant que le défi des sociétés modernes était précisément de réussir à conserver ce sens profond d’une liaison calme avec le monde.

Au cours de sa visite le Dalaï Lama, qui a reçu la citoyenneté d’honneur canadienne, a répété qu’il ne souhaitait qu’une plus grande autonomie pour son pays, le Tibet, dans le cadre de la Chine. À l’un de ses interlocuteurs qui lui demandait s’il pensait qu’au Tibet les Tibétains se sentaient en liberté, il a conseillé d’aller voir par lui-même, afin de se faire une opinion exacte.


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