15 fiches pratiques pour comprendre pourquoi les informations du gouvernement chinois sur le Tibet ne peuvent être admises
Traduite pour la première fois en français, l’allocution du Dalaï Lama au Congrès des Etats-Unis à Washington le 21 septembre 1987 reste toujours d’actualité, comme nous le montrent les essais nucléaires en Inde et les récentes inondations en Chine. L’allocution marque plus encore que la proposition de Strasbourg du 15 juin 1988 la volonté de dialogue et la position du chef spirituel et temporel des Tibétains.
Le concept de Satyagraha (initié par Gandhi) est ici analysé (en 1995) par Samdhong Rinpoché, qui l’applique à la situation tibétaine.
Traduite pour la première fois en français, l’allocution du Dalaï Lama au Congrès des Etats-Unis à Washington le 21 septembre 1987 reste toujours d’actualité, comme nous le montrent les essais nucléaires en Inde et les récentes inondations en Chine. L’allocution marque plus encore que la proposition de Strasbourg du 15 juin 1988 la volonté de dialogue et la position du chef spirituel et temporel des Tibétains.
Ce titre prestigieux construit à partir d’un terme sanscrit « pandita » : érudit, et tibétain « chenpo » : grand, fut offert en hommage par le Vème Dalaï Lama, autour des années 1600, à son précepteur, l’abbé du monastère du Tashi Lumpo, à Shigatsé, la deuxième ville du Tibet. Rien, désormais, ne devait séparer le « Grand Erudit » de « l’Océan de Sagesse », unis par ce que les Tibétains nomment la relation Lune-Soleil. Plus forte que la fraternité, elle est fondée sur deux principes : la reconnaissance au-delà de la mort humaine, l’enseignement des rituels les plus profonds. Voeux plus ou moins pieux, car on sait que les deux prélats eurent parfois de sérieux accrochages, mais qui se terminèrent toujours par la réconciliation, et ne mirent jamais en doute la fidélité en esprit de l’un à l’autre.
Toute la manoeuvre de la Chine pour s’arroger un droit de regard dans la reconnaissance de la réincarnation du Panchen Lama repose sur une prétendue procédure de « tirage au sort dans l’urne d’or » instituée par l’empereur mandchou Qian Long en 1792.
Derrière la mascarade du « tirage au sort » organisé par le Parti Communiste chinois et s’en servant de support, une opération politique d’envergure se déroule actuellement au Tibet.
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