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Nouvelles du Tibet

Informations parues dans Tibet Info du 1er au 30 novembre 2000

Pacte toujours pas ratifié

Le comité permanent de l'Assemblée nationale populaire chinoise (ANP) s'est séparé le 31 oct. à l'issue d'une réunion de neuf jours sans avoir ratifié le pacte de l'ONU sur les droits économiques, sociaux et culturels.
"Un certain nombre de députés (...) ont estimé qu'il fallait continuer à étudier certains problèmes", a déclaré Zhu Bangzao, le porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères au cours d'un point de presse.
Il a ajouté que les députés avaient recommandé que le pacte soit ratifié "le plus tôt possible et à une date adéquate sur la base de nouvelles délibérations".
La décision de Pékin de reporter la ratification du pacte, en dépit des appels lancés par les pays occidentaux, était attendue depuis les propos attribués le 30 oct. par un journal chinois à un haut responsable du parlement affirmant que "certaines couches de la société" chinoise n'étaient pas "encore prêtes".
C'est la seconde fois que le pacte sur les droits économiques, que Pékin a signé en 1997, est soumis sans succès au parlement chinois.
A l'issue de sa récente visite officielle à Pékin, le président français Jacques Chirac avait indiqué avoir reçu des autorités chinoises des assurances sur la ratification de ce pacte avant la fin de l'année.
Aucune date n'a en revanche jamais été fournie pour la ratification du pacte sur les droits politiques et civils que la Chine a signé en 1998.
Source : AFP 31 oct 00


Art tibétain disséminé

Les objets d'art appartenant au patrimoine culturel tibétain sont actuellement disséminés sur toute la planète, et il n'en reste qu'un très petit nombre dans leur pays d'origine.
Lors d'une réunion à Leiden, aux Pays-Bas, des experts et des collectionneurs d'art ont décidé de prendre des mesures pour que les précieux objets retournent dans leur patrie.
Le pillage a commencé avec l'invasion du pays par la Chine, en 1950. Les occupants ont rapatrié chez eux des milliers de statues et de livres précieux, jusque-là abrités par les temples et les monastères bouddhistes, qui ont d'ailleurs été rasés. Une grande partie des sculptures a été fondue pour alimenter les usines d'armements. Cette situation a perduré plusieurs années, puis la Chine a changé de politique et s'est fait le défenseur du patrimoine culturel tibétain contre le pillage de plus en plus organisé. Une législation a été mise en place pour réprimer la contrebande, mais sans grand succès pour l'instant.
Les objets d'art tibétains ont actuellement une grande cote auprès des collectionneurs occidentaux, et les plus belles pièces sont vendues à des prix vertigineux dans les ventes aux enchères, ce qui ne peut qu'encourager le trafic. Les professionnels de l'art ont donc fini par s'émouvoir de la situation, et plusieurs initiatives ont été lancées pour que ces oeuvres regagnent leur patrie d'origine.
Ainsi, en 1992, Robert Thurman, un éminent spécialiste américain du bouddhisme, a-t-il lancé une opération visant à recueillir auprès des collectionneurs privés des objets tibétains. Il a aujourd'hui réuni plus de 150 pièces, qui seront exposées prochainement à New York avant de retrouver le Tibet.


Explosion à Lhassa

Un attentat à la bombe s'est déroulé à Lhassa, le mois dernier, quelques jours après la nomination d'un nouveau responsable régional par Pékin.
Dans un communiqué reçu à Pékin, l'agence Tibet Information Network (TIN), basée à Londres, rapporte que l'explosion, qui n'a pas fait de victime, s'est produite le 26 octobre dernier, dans le centre de Lhassa, non loin du tribunal, et pratiquement en face de l'hôtel Banak Shol, vers 20 heures.
Cette explosion, en dehors des heures de bureau, pourrait avoir été choisie afin de limiter le risque de blesser ou de tuer.
Il s'agit, selon TIN, de la huitième explosion de ce type enregistrée à Lhassa au cours des cinq dernières années.
Des responsables tibétains contactés par l'AFP se sont toutefois refusés à faire le moindre commentaire sur l'explosion.
"Nous ne pouvons pas répondre aujourd'hui" a notamment indiqué un porte-parole de la police du Tibet.
Mais selon un touriste étranger cité par TIN, l'explosion, de très forte puissance, a fortement ébranlé un bâtiment situé à proximité.
Dès l'arrivée de la police, les touristes étrangers avaient été invités à quitter les lieux et à regagner leurs hôtels.
Au cours des trois ou quatre jours qui ont suivi, les autorités de Lhassa ont systématiquement fouillé les véhicules entrant et sortant de Lhassa, ainsi, semble-t-il, que les deux jours précédant l'explosion. Cela laisse penser qu'un incident
similaire aurait pu avoir lieu précédemment, ou que les autorités redoutaient un tel incident.
L'explosion est survenue dix jours après la nomination par Pékin de Guo Jinlong au poste de secrétaire régional du parti au Tibet, le plus haut poste dans cette région contrôlée par la Chine depuis 1950.
Source : T.I.N., et AFP 9 nov 00


Panchen Lama : mystérieuses photos

Des photos du jeune Panchen Lama Gedhun Choekyi Nyima, non reconnu par la Chine et placé, depuis plus de cinq ans, en résidence surveillée dans un lieu tenu secret, auraient été montrées à des diplomates Européens à l'occasion de récentes rencontres sur les droits de l'homme à Pékin.
Elles auraient également été exhibées lors de rencontres similaires à Londres. On y verrait un enfant d'une dizaine d'années jouant au tennis de table et traçant des caractéres chinois sur un tableau noir.
Elles auraient été prises, selon les représentants chinois, à Nagchu, dans le nord du Tibet. Ces mêmes représentants ont catégoriquement refusé de remettre les photos en question à leurs interlocuteurs.
"Ces photos ne constituent nullement une preuve de l'état de santé du Panchen Lama ni du lieu où il se trouve. Il est insultant pour des gouvernements étrangers de se faire ainsi manipuler" a commenté Alison Reynolds, porte parole du mouvement Londonien "Free Tibet campaign".
Aucun témoin n'a pu rencontrer l'enfant, aujourd'hui âgé de onze ans, depuis le début de sa détention.
Source : Free Tibet Campaign, Londres


Manifeste 2000 des Parlementaires français pour le Tibet

Lors du passage du Dalaï Lama au Sénat le 26 septembre 2000, un Manifeste des Parlementaires français pour le Tibet lui a été remis, signé par plus de 160 parlementaires.
Le dernier texte d'appel, datant d'octobre 1996, avait recueilli plus de 350 signatures.
Vous pouvez donc librement recopier le texte suivant et demander à votre député ou sénateur d'y apposer sa signature si cela n'est déjà fait.


Manifeste 2000 des Parlementaires français pour le Tibet
Dans le cadre de l'année internationale de l'UNESCO pour une culture de la paix et de la non-violence, les parlementaires français soussignés, conscients de la contribution que la culture tibétaine pourrait apporter à l'humanité si elle n'était promise à disparaître, appellent :

1. à l'ouverture d'un dialogue entre les autorités de la République populaire de Chine et le Dalaï Lama, Prix Nobel de la Paix, sur la base, notamment, du Plan de paix en cinq points exposé par ce dernier en 1987.

2. à la prise en compte des Recommandations formulées par la Commission internationale de juristes (C.I.J.) à Genève en 1997

3. à la libération du jeune Gendhun Choekyi Nyima, XIème Panchen Lama du Tibet, âgé de 10 ans et demi, retenu captif depuis l'âge de 6 ans, et considéré comme le plus jeune prisonnier politique du monde.

4. au respect inconditionnel des droits fondamentaux de la personne humaine au Tibet, à la préservation de la culture et de l'identité inaliénable du Peuple tibétain et à la protection de l'environnement et de l'équilibre naturel de ce pays.

Afin de ne pas entrer dans le XXIème siècle sans le Tibet, les Parlementaires soussignés en appellent également au Gouvernement français et aux autorités de l'Union européenne pour qu'ils facilitent autant que possible la réalisation des recommandations ci-dessus.

Recopier ce texte, et le faire parvenir à votre député ou sénateur pour signature, et retourner l'original au :
Bureau du Tibet,
84 Bd A. Pinard,
75014 Paris.



Premiers signataires, au 15 novembre 2000 :
Députés

Jean-Pierre Abelin, Pierre Albertini, André Angot, André Aschieri, Jean-Marie Aubron, Pierre Aubry, Gautier Audinot, Pierre-Christophe Baguet, Gérard Bapt, Jean Bardet, Christian Bataille, Jean-Claude Beauchaud, Jean-Louis Bianco, Jean-Marie Bockel, Jean-Claude Bois, Marie-Thérèse Boisseau, Pierre Brana, Richard Cazenave, Henri Chabert, Gérard Charasse, Jean-Marc Chavanne, Jean-François Chossy, Georges Colombiers, Jean-Michel Couve, Charles Cova, Jackie Darne, Patrick Delnatte, Jean-Marie Demange, Léonce Deprez, Franck Dhersin, Julien Dray, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Paul Durieux, Nicolas Forissier, Jean-Pierre Foucher, Yves Fromion, Claude Gaillard, René Galy-Dejean, Claude Gatignol, François Goulard, Michel Grégoire, Jacques Guyard, Philippe Houillon, Michel Hunault, Bernadette Isaac-Sibille, Christian Kert, Robert Lamy, Thierry Lazaro, Pierre Lellouche, Jean-Claude Lenoir, Martine Lignières-Cassou, François Loos, Lionel Luca, Noël Mamère, Franck Marlin, Christian Martin, Patrice Martin-Lalande, Jean-François Mattei, Pierre Méhaignerie, Michel Meylan, Charles Miossec, Pierre Morange, Hervé Morin, Alain Moyne-Bressand, Alain Néri, Jean-Marc Nudant, Arthur Paecht, Etienne Pinte, Didier Quentin, Jean-Bernard Raimond, Jacques Rebillard, Jean-Luc Reitzer, Jean Roatta, François Rochebloine, Rudy Salles, François Sauvadet, Bernard Schreiner, Frantz Taittinger, Guy Teissier, Daniel Vachez, Alain Vidalies, Aloyse Warhouver.

Sénateurs
Jean-Paul Amoudry, Pierre André, Henri d'Attilio, François Autain, Robert Badinter, Denis Badre, Jean-Michel Baylet, Jean-Luc Bécart, Michel Bécot, Jean-Pierre Bel, Georges Berchet, Jacques Bimbenet, Annick Bocandé, James Bordas, Jean Boyer, Jean-Guy Branger, Dominique Braye, Paulette Brisepierre, Louis de Broissia, Robert Calmejane, Jean-Claude Carle, Auguste Cazalet, Gilbert Chabroux, Jacques Chaumont, Jean Clouet, Yves Collin, Xavier Darcos, Robert Del Picchia, Christian Demuynck, Marcel Deneux, Charles Descours, André Diligent, Michel Doublet, Jean-Léonce Dupont, Hubert Durand-Chastel, Michel Esneu, Hilaire Flandre, Bernard Fournier, Yann Gaillard, Alain Gérard, Charles Ginesy, Francis Giraud, Daniel Goulet, François Grignon, Louis Grillot, Hubert Haenel, Rémi Herment, Jean-Paul Hugot, Jean-François Humbert, Claude Huriet, Bernard Joly, Patrick Lassourd, Lucien Lanier, Edmond Lauret, René-Georges Laurin, Dominique Leclerc, Jacques Legendré, Jean-Louis Lorrain, Roland du Luard, Jacques Machet,
Philippe Madrelle, René Marques, Louis Moinard, Georges Mouly, Lucien Neuwirth, Philippe Nogrix, Nelly Olin, Joseph Ostermann, Lylian Payet, Michel Pelchat, Jacques Pelletier, Bernard Plasait, Jean-Pierre Plancade, Henri de Raincourt, Bernard Seillier, Louis Souvet, Martial Taugourdeau, Pierre-Yvon Trémel, François Trucy, André Vallet, Alain Vasselle, Guy Vissac

Source : Bureau du Tibet


Chine et pactes de l'ONU

Le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Mary Robinson, a demandé le 21 nov à Jiang Zemin de s'engager en faveur de la ratification de deux pactes internationaux destinés à défendre les droits de l'Homme.
La Chine a signé en 1997 et 1998 respectivement le pacte de l'ONU relatif aux droits économiques, sociaux et culturels et le pacte sur les droits civils et politiques. Mais l'Assemblée Nationale Populaire (ANP, le parlement chinois) n'a pas encore ratifié ces deux textes qui donnent une armature juridique à la charte internationale des droits de l'Homme.
Au cours d'une conférence de presse, Mme Robinson a déclaré que durant sa visite de 48 heures à Pékin, les responsables chinois lui avaient indiqué que le premier pacte, qui garantit notamment la liberté syndicale, pourrait être ratifié en février prochain lors d'une troisième lecture par l'ANP. "Du côté chinois, on considère (ces ratifications) comme très importantes. Ils mettent l'accent sur leur détermination à ratifier les deux pactes".
Mme Robinson est cependant restée prudente sur la suite des événements, rapportant que M. Jiang lui avait expliqué que des études supplémentaires étaient nécessaires avant de ratifier les deux textes. "Je suis un peu inquiète", a-t-elle confié.
Le 20 nov., Mme Robinson a signé avec le gouvernement chinois un mémorandum de coopération technique destiné à aider la Chine à mettre sa législation en conformité avec les deux pactes. Fin octobre, le parlement chinois a estimé que le pacte sur les droits économiques n'était pas en l'état transposable dans la législation nationale. Le second pacte n'a pas encore été transmis au parlement.
Selon l'agence Chine nouvelle, M. Jiang a répété à Mme Robinson la position de la Chine sur les droits de l'Homme, à savoir que la souveraineté des Etats doit primer sur les droits de l'Homme et que le bien-être économique de la population doit également avoir la préséance sur les droits politiques.
Mme Robinson a ajouté qu'elle avait fait part au président chinois de sa préoccupation à l'égard de la répression de la secte d'inspiration bouddhiste Falungong, mise hors-la-loi en juillet 1999, des entraves à l'utilisation de l'internet et du traitement des travailleurs migrants.
Mme Robinson a également appelé M. Jiang à accorder un accès sans limites en Chine au rapporteur de l'ONU sur la torture et a soulevé les cas de plusieurs dissidents politiques emprisonnés.
Source : AFP 21 nov 00


Décès de Sholpa Dawa

C'est avec une grande consternation et tout autant de tristesse que la communauté tibétaine de Dharamsala a appris le décès, en date du 19 novembre 2000, d'un remarquable patriote : Dawa, communément appelé Sholpa Dawa car il était originaire du village de Shol.
Dawa est né en 1937, il était couturier et fut le père de 8 enfants. Sa première arrestation date du 27 (ou 29 ?) septembre 1981 pour avoir rédigé avec d'autres résistants un ouvrage intitulé 'Chronique de 20 ans d'atrocités au Tibet'. Condamné à deux ans d'emprisonnement et à un an de privation de ses droits civiques, Dawa fut détenu au-delà de sa peine officielle.
Sa seconde arrestation remonte à fin 1985 (26 août ou 8 nov. selon des sources différentes) pour avoir rédigé, imprimé et distribué des affiches pro-indépendantistes.
Pour ces faits, il fut condamné à 4 ans de prison et à un an de privation de ses droits civiques.
Enfin le 4 août 1995, Sholpa Dawa fut arrêté pour la troisième fois. Accusé d'envoyer des informations 'secrètes' au Dalai Lama, il fut jugé le 8 août 1996 (en compagnie de Topgyal, un ami qui l'avait aidé) et écopa de 9 ans de prison et de 3 ans de privation de ses droits civiques sous l'accusation de divulgation d'une liste des noms de prisonniers politiques.
Il fut envoyé à la prison numéro 1 du Tibet : Drapchi, où Topgyal y est toujours emprisonné pour une peine de six ans.
Monsieur Dawa mourut le 19 novembre 2000, à l'hôpital où il avait été amené quelques jours avant sa mort.
La nouvelle parvenue à Dharamsala ne fait pas mention des causes de son décès, mais sa famille n'aurait, semble-t-il, pu récupérer son corps après le décès pour procéder aux rites habituels.
L'association Guchusum a aussitôt organisé une marche aux chandelles le 24 novembre et des rituels funéraires au temple du Dalai Lama de Mcleod Ganj le 25 novembre.
L'association Guchusum témoigne :
"C'était un homme responsable qui avait un très grand coeur. Il avait pour habitude de rendre visite aux prisonniers politiques en prison.
Il aidait les Tibétains surveillés de près par les Chinois pour les faire partir en exil.
Il aidait tout autant les anciens prisonniers politiques qui avaient beaucoup de mal à survivre après leur libération.
En plus de tout cela, il distribuait des articles sur la cause tibétaine et en finalité il a offert sa vie pour l'indépendance du Tibet... Le gouvernement chinois est responsable de la mort de Dawa-la"

Le Comité de Soutien au Peuple Tibétain rappelle que Sholpa Dawa était parrainé par les municipalités de Murs et St-Gély-du-Fesc, qui écrivaient régulièrement au gouvernement chinois pour demander sa libération.
Source : Association Guchusum, TCHRD (Centre Tibétain des Droits de l'Homme et de la Démocratie) et correspondant Tibet Info à Dharamsala, 25 nov. 2000


Politique britannique critiquée

La stratégie de la Grande-Bretagne de maintenir un dialogue avec la Chine sur les droits de l'homme s'est révélée incapable de produire des résultats significatifs, a affirmé le 29 nov. un rapport parlementaire demandant au gouvernement de durcir ses positions. Une commission composée de députés des différents partis indique qu'au contraire une "grave détérioration" dans la situation des droits de l'Homme en Chine a été constatée pendant les deux années écoulées, au cours desquelles l'approche "constructive" du gouvernement n'a produit "aucun résultat significatif".
Cette situation devrait être un "sérieux sujet de préoccupation", poursuit le rapport qui reproche au Foreign Office de n'avoir pas procédé à une analyse juste de la situation.
Les députés mettent les ministres en garde contre l'attrait d'opportunités économiques lucratives en Chine et demandent de ne pas "échanger" les droits de l'Homme contre des avantages commerciaux. Le rapport suggère que la Grande-Bretagne, de même que d'autres pays de l'Union européenne, durcissent leurs positions en faisant comprendre au gouvernement de Pékin que sa candidature pour organiser les J.O. de 2008 serait incompatible avec l'absence d'une amélioration de la situation des droits de l'Homme en Chine.
Source : AFP 29 nov 00



La reproduction des textes ci-contre est autorisée et encouragée sous la condition exprès de mentionner : « Source : 36 15 Tibet Info » + les autres sources mentionnées dans chaque article, ainsi que la date. Exemple "Source : 36 15 Tibet Info / AFP, 15 jan 98". Merci de respecter ces différents copyrights.


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