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*** Merci de noter que Tibet-info n’est presque plus mis-à-jour depuis juillet 2017 ***
Vous pouvez agir pour le Tibet
Quelques idées d’action : souscrivez au Blue Book, Tibet Lib, Tibet Post et Parrainage de prisonniers par des municipalités
Dernière mise-à-jour sur les immolations au Tibet : 29/05/2017 (Jamyang Losal). Voir la carte chronologique
43 membres de l’Assemblée nationale ont proposé le 6 mars 2012 une résolution sur le respect de la liberté d’expression au Tibet à l’Assemblée nationale.
Beynes, Marcq et Maule, dans les Yvelines
s’unissent pour une
découverte du Tibet
du 24 mars au 15 avril 2012
avec la collaboration de l’association "Etre avec le Tibet"
Le Kalon Tripa de l’Administration Centrale Tibétaine a lancé un appel au Secrétaire Général des Nations unies afin qu’il dépêche un Envoyé Spécial pour enquêter sur la réalité des faits au Tibet.
Sonam Dhargye, un agriculteur tibétain, s’est immolé par le feu le 17 mars 2012 en signe de protestation contre le gouvernement chinois dans le Comté de Rebkong.
Dorjee, âgé de 18 ans, s’est auto-immolé par le feu le 5 mars 2012 vers 18h30 alors qu’il marchait sur un pont en direction du bureau du gouvernement local de la municipalité de Chara dans le Comté de Ngaba.
Jamyang, un moine tibétain d’environ 34 ans, s’est immolé le 14 mars 2012, jour anniversaire du soulèvement de 2008, a 10h30 environ, heure locale, au monastère de Rongbo Gonchen, dans le Comté de Rebkong.
Lobsang Tsultrim, un autre moine tibétain, s’est immolé par le feu le vendredi 16 mars 2012 vers 17h (heure locale) dans le Kham (actuelle province du Sichuan) pour protester contre la domination chinoise, exactement un an après que le moine Lobsang Phuntsog se soit, lui aussi, immolé.
De très fortes tempêtes de neige dans le nord du Tibet ont détruit des troupeaux entiers de yaks tibétains et risquent de décimer d’autres animaux, menaçant le gagne-pain des familles nomades dans la région durement touchée.
La Chine a approuvé la révision de son Code pénal qui accorde de larges pouvoirs à la police lors de la détention de tous ceux qui discutent de questions nationales sensibles, sans charges portées contre eux, qui peuvent être mis en détention secrète pendant un maximum de six mois.
Les Tibétains ayant manifesté dans la province de l’Amdo (actuel Qinghai) se sont entendus dire qu’ils devaient se rendre ou sinon, ils feraient face à des mesures "sévères".
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