Alors que se poursuit la démolition de l’Académie bouddhiste Larung Gar, située dans le Comté de Serta, les autorités chinoises ont expulsé plus de 1 000 moines et religieuses et les ont forcés à participer à une campagne de "rééducation patriotique".

Le 24 octobre 2016, la Chine a annoncé que la première étape de la construction de la dernière section de la deuxième ligne de chemin de fer allant de la Chine au Tibet serait achevée à la fin de ce mois-ci.

Les fonctionnaires chinois, qui cherchent à réduire la population de l’Institut bouddhiste Larung Gar, auraient commencé à offrir des incitations monétaires à certains moines et nonnes afin qu’ils partent.

Deux chanteurs tibétains, Pema Thinley, 26 ans et Chakdor, 36 ans, ayant purgé leurs 4 ans de prison,ont été libérés le 3 octobre 2016 de la prison de Mianyang.

Plus de 5 000 moines et laïcs tibétains venant de tout l’Ouest de la Chine se sont réunis au monastère de Kirti pour une traditionnelle période d’enseignements religieux et de débats, selon une source locale.

Après le voyage en Europe du Dalaï Lama, lors duquel il s’est exprimé au siège de l’UE à Strasbourg, la Chine a émis une menace et a promis d’en faire une "priorité absolue" afin de contrer son influence.

Le tremblement de terre dévastateur de magnitude 7,8 ayant touché le Népal le 25 avril 2015, a également fait des victimes et des dégâts considérables au Tibet.

Les étudiants tibétains d’une université du Gansu font face à une hausse exorbitante des frais de scolarité et à leur déménagement forcé dans un campus éloigné, sans chambres ni bibliothèque.

Gangkye Drubpa Kyab a été libéré de prison le 16 septembre 2016, après quatre ans de prison. Il a été placé à nouveau en détention après avoir pris part à une réception organisée en son honneur.

Le chef du bureau du Washington Post à Pékin, Simon Denyer, a fait l’histoire cette semaine, en parlant en direct, en face du Palais du Potala à Lhassa.