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Dernière mise-à -jour sur les immolations au Tibet : 29/05/2017 (Jamyang Losal). Voir la carte chronologique
La capitale du Tibet, Lhassa, est promise à devenir la seule ville d’échelle internationale sur le plateau tibétain dans les cinq prochaines années.
Alors que le gouvernement chinois limite l’enseignement du tibétain dans les écoles et les monastères de la "Région Autonome du Tibet", l’équité en matière d’éducation est en train de devenir un nouvel obstacle à la préservation culturelle au sein des communautés tibétaines.
La Chine indique qu’elle va mettre en place une base de données de ce qu’elle appelle "les Bouddhas légitimes vivant en Chine" afin de dénoncer les "faux".
Le 8 décembre 2015, marquant le 20ème anniversaire de son intronisation, le chef du Parti de la "Région Autonome du Tibet", Chen Quanguo, a appelé Gyaltsen Norbu à établir une frontière claire avec le chef spirituel du Tibet en exil, le Dalaï Lama.
Les autorités chinoises décrivent le circuit du Bharkor autour du temple du Jokhang, à Lhassa, comme l’un des endroits les plus sûrs de la République Populaire de Chine. (Et pour cause !)
Dans le cadre d’un nouveau projet du gouvernement chinois couvrant les cinq prochaines années, les maisons traditionnelles tibétaines de trois comtés à l’extérieur de la ville de Lhassa seront remplacées par des bâtiments de style chinois.
Quatre Tibétains de Dzamthang ont été brutalement battus par les responsables chinois après avoir refusé de vendre leurs terres pour la construction d’une caserne de la police et autres utilisations officielles.
Le gouvernement local du comté de Nangchen a annoncé qu’il allait déployer 13 fonctionnaires du gouvernement local dans les monastères tibétains "pour se prémunir contre la continuelle influence séparatiste extérieure sur les moines".
Des mesures répressives ont été prises par le gouvernement chinois pour faire taire les voix tibétaines et cacher la situation réelle au Tibet avant la visite d’une délégation du Congrès américain.
A Genève, le 17 novembre 2015, les fonctionnaires chinois ont été questionnés par les membres du Comité des Nations Unies contre la torture sur la généralisation de la torture dans les prisons du pays, la répression contre les militants et surtout les prisonniers politiques et les décès en détention.
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