Après le tremblement de terre de 2010, des milliers de Tibétains de Kyegudo se sont retrouvés sans abri en raison d’une ruée sur les terres du fait des autorités chinoises dans la région.

Jugtso (Chugtso), 20 ans, mariée et mère d’un enfant de 3 ans, s’est immolée par le feu le 16 avril 2013 devant le monastère de Jonang, comté de Dzamthang.

Le 10 avril 2013, des jeunes de la région de Machu ont organisé une manifestation exigeant l’arrêt immédiat des politiques marginalisant les Tibétains dans les domaines de l’éducation et de l’emploi.

Lhatsog a été libéré jeudi 11 avril 2013, après avoir purgé cinq ans de prison pour avoir participé à des manifestations contre la domination chinoise en 2008.

Il y a un an, le 6 avril 2012, un maître tibétain de haut rang et sa nièce, religieuse, se sont immolés, protestant contre le régime chinois.

Toutes les questions "seront abordées dans un esprit de franchise et de respect mutuel" lors du 1er voyage officiel de Mr F. Hollande en Chine, fin avril.

Les autorités de la province chinoise du Gansu ont interrogé les étudiants tibétains ayant commémoré l’anniversaire d’une émeute à Lhassa, les menaçant de "conséquences graves" s’ils n’identifiaient pas les organisateurs de l’événement.

Le Comté de Rebkong fait partie des régions très touchées par les immolations. Le document met en garde les Tibétains contre une éventuelle implication dans les manifestations par auto-immolation et d’autres activités jugées encourager la lutte contre la domination chinoise.

Le glissement de terrain qui a enseveli 83 mineurs au Tibet le 29 mars 2013 montre que les populations locales profitent rarement des richesses de leur sous-sol.

Jigme Gyatso, militant tibétain connu, a été libéré après 17 ans de prison et de travaux forcés pour avoir défendu l’indépendance du Tibet et appelé à la longue vie du Dalaï Lama.